"La soudure requiert de la dextérité"

Baptiste Guillaumin vous dévoile sa vision du métier de soudeur, marquée par la finesse et la précision

Depuis combien de temps êtes-vous soudeur ?

 

Baptiste Guillaumin  : Depuis 5 mois, 8 mois en prenant compte la formation

 

 

Quels liens faîtes vous entre votre formation initiale et votre métier de soudeur ?

 

Baptiste Guillaumin : A la base, je viens des beaux-arts. Ce que je trouve intéressant entre la soudure et le système des beaux-arts c’est le fait de faire pas mal de dessins, photographies mais le lien est vraiment autour de la dextérité, entre faire de la soudure et dessiner sur une feuille de papier.

On retrouve des gestes en commun. Il y a un côté performatif ou parfois on se retrouve dans des positions sur la soudure ou on doit mettre le corps en contrainte et on peut retrouver ça sur des médiums artistiques.

 

 

 

Pourquoi avez-vous choisi ARQUUS ?

 

Baptiste Guillaumin : J’ai commencé à travailler ici parce qu’il y avait des recherches de dextérité et de qualité. J’ai trouvé que c’était une belle passerelle entre le monde des beaux-arts et ARQUUS qui fait des véhicules militaires.

 

 

 

Quelle satisfaction tirez-vous de votre expérience ARQUUS ?

 

Baptiste Guillaumin : Intéressante, parce que moi dans mon projet personnel je travaillais énormément sur les coulisses. Chez ARQUUS on se retrouve aussi sur tout ce qui est construction, comment faire un véhicule blindé, comment arriver à construire pour d’autres utilisateurs qui vont s’en servir et que l’on va voir partout, à la télévision.

 

 

 

Êtes-vous heureux au travail ?

 

Baptiste Guillaumin : On est content de participer, d’être en équipe, partager des connaissances avec d’autres personnes, des soudeurs avec d’autres expériences. C’est un apprentissage perpétuel.