Arquus Marolles

Arquus Marolles

CENTRE D‘EXCELLENCE DE LA MILITARISATION DE MOTEURS, DE LA FABRICATION ET DE LA RÉPARATION D’ORGANES MÉCANIQUES

Au coeur d'Arquus Marolles

Le site d'Arquus Marolles a la charge la production des tourelleaux télé-opérés T3 assurant l’autodéfense du véhicule ainsi que l’ensemble des opérations de préparation du moteur de l’EBRC Jaguar. Il s'agit d'une grande source d’activité industrielle pour le centre de Marolles.

L'usine de Marolles s'est spécialisée dans les kits de trains roulants. Ces kits sont composés de six réducteurs et trois ponts par véhicule, soit un total de 11 496 réducteurs et 5 748 ponts, soit 17 244 organes à fabriquer pour équiper 1 668 Griffon et 248 Jaguar. Le site de Marolles assure les opérations de montage, d’essais, de peinture, de conditionnement et d’expédition à Limoges pour l’assemblage chez Nexter à Roanne. Les livraisons s’effectueront jusqu’en 2031 !

Fabrication de moteurs VBL

La soudure est une activité réalisée sur le site industriel d'Île-de-France

Réparation de moteurs sur le site de Marolles

TTO Hornet fabriqué sur le site de Marolles-en-Hurepoix

Arquus Marolles : des femmes et des hommes engagés

Le site de Marolles emploie environ aujourd’hui 300 employés avec des métiers très diversifiés. Toutes nos offres d'emploi sont disponibles sur notre site ICI.

Découvrez en plus sur le site d'Arquus Marolles à travers notre VITRINE WELCOME TO THE JUNGLE .

L'histoire du site d'Arquus Marolles

Hasard de l’histoire, Marolles-en-Hurepoix est le lieu de naissance d’Émile Levassor (1843-1897), l’ingénieur devenu l’associé de René Panhard et dont le nom est intégré dans la raison sociale du constructeur automobile. Faut-il voir là la raison de l’installation de l’usine de Marolles, aujourd’hui l’un des cinq sites d’Arquus, dans la suite de Panhard ? Rien ne permet de l’affirmer, mais une présomption peut-être.

Mais ce n’est que depuis 1973 que l’usine est spécialisée dans la production de blindés et, en particulier, des essais. À la fermeture de l’usine de la porte d’Ivry en 2005, la SCMPL (Société de Construction Mécanique Panhard et Levassor) s’installe à Marolles-en-Hurepoix et devient ensuite Panhard Generale Defense.

1973 : Ouverture du site de Marolles-en-Hurepoix, lieu de naissance d’Émile Levassor,
associé de Panhard, qui va se spécialiser dans la production et les essais de
blindés.

1981 : L’armée française commande 15 000 exemplaires de la P4 (essence et diesel confondus), ramenée finalement à 13 500 unités à la suite de la baisse des effectifs de l’armée de Terre. À partir de 1985, la production est transférée à l’usine Panhard de Marolles-en-Hurepoix, où 6 000 véhicules sont produits.

2005 : Auverland achète la SCMPL à Peugeot, mais conserve la marque Panhard Defense. Le site Panhard
de la porte d’Ivry ferme et les activités sont transférées à Marolles-en-Hurepoix.

2008 : Début de la production des 1183 PVP à Marolles-en-Hurepoix. Premières livraisons
de VBCI.

2016 : La DGA commande 250 kits de protection des planchers de PVP contre les
mines. Les 120 premiers sont livrés aux forces, tandis que les 130 suivants sont
montés à Marolles sur les véhicules.